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KISHIN SHINOYAMA
Photographe
© Kishin Shinoyama
© 1616 Prod
Invité au festival Planche(s) Contact en 2013
Invité au festival Planche(s) Contact en 2013
Depuis la fin des années 60, les images de nus jalonnent la carrière de Kishin Shinoyama : des nus classiques parfaitement composés de subtils jeux de couleurs ou de dégradés de noir et blanc. Il est aujourd’hui l’un des plus grands maîtres de la photographe japonaise. Certains de ses livres – plus de 350 à ce jour depuis le premier, 28 Girls, sorti en 1968 - se sont vendus au Japon à plus de 700 000 exemplaires.
Pour lui, la photographie est un miroir qui reflète le temps et l'époque, qui reflètera Deauville : « L'expression du nu évolue sans cesse selon l'époque, la localité, les croyances du pays, la loi, le sens commun. Et selon ces éléments, il y a des libertés ou des interdictions…de nouvelles expressions sont encore tout à fait possibles ».
Enfin, pour lui, le nu n’est pas simplement un corps féminin : l’environnement dans lequel la femme évolue est déterminant. Car c’est aussi un photographe des lieux, on lui doit plusieurs livres sur les maisons de grands artistes comme Man Ray, le cinéaste italien Luchino Visconti ou l’écrivain Mishima.
Son invitation à Deauville fut un événement parce que pour la première fois, le nu a été traité dans les productions photographiques du Festival et que le travail réalisé par Kishin Shinoyama a permis de mêler l’imaginaire de Deauville avec celui du Japon. Il a réalisé ses photos essentiellement au Parc des Enclos Calouste Gulbenkian.